BEFFROI DE COMINES
Au sortir de la guerre 1914 – 1918, Il fallut reconstruire le beffroi et l’hôtel de ville qui avait été détruits durant la guerre ; La commune de Comines fit appelle à un architecte spécialisé dans la construction des beffrois et hôtels de villes néo flamand, Louis Marie Cordonnier.
L’hôtel de ville fut inauguré en1929 et le beffroi en 1932. On peut y voir une remarquable série de vitraux rappelant les seigneurs successifs de la ville grâce à leurs armoiries ; on peut y voir aussi la création de la fête des louches, ainsi qu’une allusion au métier principal de la ville de Comines la rubanerie.
Le beffroi datant de1623 fut donc reconstruit à l’identique accolé d’un hôtel de ville de style néo Flamand en brique .Une galerie relie les deux bâtiments. Le beffroi est une tour quadrangulaire en brique soulignée de pierre de 9 mètres de côté et 22 mètres de hauteur, avec un recouvrement en forme de bulbe en ardoises supporté par une charpente en béton qui confère au bâtiment une caractéristique unique en son genre.
Hauteur : 58 mètres..
Inscrit aux Monuments Historiques (2001)
BEFFROI DE DOUAI
La construction du beffroi de Douai a commencé en 1380, sa fonction à l’origine était d’abriter les cloches. Le style architectural du beffroi était gothique.
Sa construction prendra plusieurs années. On y ajoutera deux étages. Puis on vit apparaître des tourelles. La construction fut ralentie par un incendie en 1471,qui obligea les bâtisseurs à tout recommencer.
En 1683 on ajoutera au sommet du beffroi le Lion des Flandres. La hauteur du beffroi est de 54 mètres.
Aujourd’hui le carillon du beffroi de Douai est l’un des plus beaux de France. Il possède 62 cloches d’un poids total de 18 tonnes. Le bourdon à lui tout seul pèse 5500 kg.
Détails sur les étages du beffroi :Inscrit aux monuments historiques en 1862.
1. miou14 le 22-07-2010 à 10:28:18 (site)
Bonjour, je découvre ton blog fort intéressant, j'habite le Calvados, ce n'est pourtant pas trés loin et je connais fort peu ta jolie région . Il ,y a une quarantaine d'années j'avais de la famille à Tourcoing jy suis allée passer quelques jours et depuis je ne suis pas retournée. Fin aout je pars une semaine sur la Cote d'opale avec un groupe cela me permettra de découvrir un coin que j'ignore. Bonne journée Amitiés.
HOTEL DE VILLE DE DUNKERQUE
Les premières constructions de l’hôtel de ville remonterait au XIVe ou XVe Siècle. Il connaitra plusieurs incendies. Le premier en 1558, il sera restauré en 1562.Un second incendie en 1642, il sera restauré en 1644 et on profitera de cette réfection pour le mettre au goût du jour. En 1808, l’architecte Benjamin Dewarlez Lepers présente les plans d’une nouvelle façade précédée d’un péristyle de 4 colonnes exécutée en 1811-1812 par Fontaine et Vasseur. La tourelle est abattue en 1837...
On envisage en 1895 de construire un nouvel hôtel de ville sur l’emplacement même de l’ancien Selon les plans de l’architecte Louis Marie Cordonnier, spécialiste de la construction des beffrois et hôtels de villes dans le Nord. La destruction de l’ancien hôtel de ville eut lieu en 1896.la construction du nouveau dura quatre ans de 1897 à 1901.Elle fut réalisée par l’entrepreneur lillois Emile Rouzé.
L’hôtel de ville fut bombardé durant la seconde guerre mondiale en 1940.Ce qui nécessita la restauration et la reconstruction des ailes latérales. Ces Travaux furent réalisés par , Louis Cordonnier, le fils de l’architecte Louis Marie Cordonnier. La restauration fut longue, de 1948 à 1957.
La hauteur du beffroi de l’hôtel de ville est de 75 mètres.
1. marie-helene le 06-07-2010 à 09:56:08 (site)
je passe te faire un petit coucou moi je suis de valenciennes passe une tres bonne journée bisou
2. marie-helene le 06-07-2010 à 09:56:08 (site)
je passe te faire un petit coucou moi je suis de valenciennes passe une tres bonne journée bisou
L’origine de son surnom : Avant l’armée ; il était aide forgeron et son patron se prénommait Pierre. Consil avait pris pour habitude d’avertir son patron que le fer rougi était prêt à être Battu en criant « CH’EST CAUD PIERRE » .D’où le sobriquet Kopierre.
Deux ans après sa mort, il renait en 1911 en géant , grâce à son ami et poète Batisse Bourlon
Commentaires